Wikipédia:Contenus de qualité
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Articles de qualité récemment promus |
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Le cheval Castillonnais, ou cheval de Castillon, est une race de petits chevaux de selle montagnards et rustiques d'origine française. Connu et décrit au début du XXe siècle, ce petit cheval a failli disparaître en parallèle de l'adoption croissante de la motorisation, entre autres par le croisement avec des chevaux de trait. Il est sauvegardé de justesse par quelques éleveurs durant les années 1980 et 1990. Reconnu par les Haras nationaux en 1996, il reste à faible effectifs. Une association d'éleveurs et le haras national de Tarbes se mobilisent pour sauvegarder et préserver cette race. De robe bai-brun ou bai foncé, il est très proche du Mérens avec lequel il partage de nombreuses caractéristiques, mais nettement moins connu. C'est un bon cheval de loisir qui peut être monté en randonnée et attelé avec succès. Il vit principalement à l'extrémité sud-ouest de l'Ariège, dans les Pyrénées, dans un terroir éponyme caractérisé par la vallée du Lez, près de Saint-Girons. Son élevage s'est étendu à d'autres régions de France, notamment en Haute-Saône. |
Constantin IV (latin : Flavius Constantinus Augustus, grec : Κωνσταντίνος Δʹ), né vers 650 et mort entre juillet et septembre 685, souvent appelé incorrectement Pogonate, c'est-à-dire « le Barbu », en confusion avec son père, fils aîné de Constant II et de l'impératrice Fausta, co-empereur à partir de puis empereur byzantin de septembre à sa mort. Constantin IV commence à occuper des fonctions de gouvernement quand son père part pour la Sicile dans les années 660. Il le représente alors à Constantinople où il est confronté aux assauts des Arabes et à la révolte de Saborios. À la mort de son père, en 668, il doit mater un autre soulèvement pour s'imposer sur le trône. D'emblée, il fait face à la pression croissante des musulmans, qui assaillent Constantinople à plusieurs reprises dans les années 670. Tout occupé à la défense de la ville, il parvient à repousser les musulmans en 678 et obtient un traité de paix favorable. Ce succès lui permet alors de se consacrer à d'autres ambitions. Il peut notamment repousser les Slaves qui tentent de s'emparer de Thessalonique mais essuie une cuisante défaite lors de la bataille d'Ongal en 680, qui signe l'établissement du Khanat bulgare du Danube, dans une région jusque-là occupée par l'Empire. S'il perd également un peu de terrain contre les Lombards en Italie, son règne est surtout l'occasion d'un rapprochement avec une papauté de plus en plus autonome. Mettant fin à des décennies de conflits théologiques, il renonce au monothélisme et convoque le troisième concile de Constantinople entre 680-681. C'est un succès politique pour l'empereur, qui devient alors le restaurateur de l'orthodoxie et de la concorde religieuse entre Rome et Constantinople, tout en entérinant de fait la place de plus en plus importante prise par le pape. Il meurt jeune en 685 et c'est son fils, Justinien II, qui lui succède. Il laisse l'image d'un empereur pieux, capable de poursuivre l'œuvre de réforme d'un Empire confronté à de nombreux défis, même s'il doit concéder l'installation des Bulgares dans les Balkans. | |
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Sly 2 : Association de voleurs (en version originale : Sly 2: Band of Thieves et en japonais : Kaitou Sly Cooper 2) est un jeu vidéo de plates-formes développé par Sucker Punch Productions et édité par Sony Computer Entertainment sur PlayStation 2. Il constitue le deuxième volet de la série Sly Cooper et fait suite à Sly Raccoon, publié en 2002. Il est sorti le en Amérique du Nord, le en Europe, le en Corée du Sud et le au Japon. Le joueur incarne le voleur Sly Cooper, un raton laveur anthropomorphe, mais aussi les autres membres de son gang, composé de Bentley, une tortue, et de Murray, un hippopotame. Les trois héros tentent de voler les morceaux de Clockwerk, un hibou mécanique multiséculaire, principal antagoniste du premier opus, détenus par les membres d'une organisation criminelle internationale, le gang de Klaww. Ponctuellement aidés par l'Inspecteur Carmelita Montoya Fox et le sergent Neyla, ils sillonnent ainsi Paris, l'Inde, Prague et le Grand Nord Canadien, jusqu'à atteindre le ballon dirigeable d'Arpeggio, le chef du gang de Klaww, qui parvient à réassembler Clockwerk. Neyla, en réalité la protégée d'Arpeggio, trahit ce dernier et fusionne avec Clockwerk pour donner naissance à Clockeyla, l'antagoniste final du jeu. Le développement de Sly 2 : Association de voleurs débute en , au moment de la parution de Sly Raccoon. Le jeu comporte huit épisodes dans lesquels « Sly et le gang travaillent ensemble pour réussir une série de gros braquages », une citation de Brian Flemming, le producteur du jeu, qui guide tout le processus de conception de cet opus. Dès lors, le système de jeu, toujours fondé sur la furtivité et l'infiltration, innove par une série de missions impliquant la coopération des trois héros du gang de Cooper dans le but de préparer le cambriolage final de l'épisode. L'environnement de jeu s'appuie désormais sur un monde ouvert, dans lequel le joueur réalise les missions de jeu dans l'ordre qu'il souhaite. Les graphismes du jeu, inspirés de lieux réels, sont réalisés en toon shading, un procédé imaginé par le studio de développement, semblable au cel shading et donnant un rendu graphique proche d'un dessin animé. Un nouveau moteur de jeu est conçu afin de résoudre les problèmes de ralentissement du nombre d'images par seconde présents dans le précédent opus. Sly 2 : Association de voleurs reçoit un accueil très positif de la part de la presse vidéoludique, qui encense sa qualité graphique, digne d'un chef-d'œuvre, l'ambiance à la fois cartoonesque, drôle et proche de celles des films de braquage des années 1960, mais aussi la possibilité d'interagir avec trois personnages jouables, même s'il est regretté que Bentley et Murray ne soient pas assez sollicités, et quelques problèmes de caméra. Un troisième titre, intitulé Sly 3, est publié en sur PlayStation 2. |
Lecture de la tragédie de L'Orphelin de la Chine de Voltaire dans le salon de Madame Geoffrin, également appelé Une soirée chez Madame Geoffrin en 1755, est un tableau d'Anicet Charles Gabriel Lemonnier peint en 1812 et conservé au musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau. Il existe aussi une réplique plus petite, conservée au musée des Beaux-Arts de Rouen. Lemonnier peint ce tableau en 1812 dans une série de trois peintures sur la gloire des arts et des lettres en France, sur commande de Joséphine de Beauharnais pour décorer son château de Malmaison. Le choix du sujet, le salon littéraire de Marie-Thérèse Geoffrin, une des plus importantes salonnières du XVIIIe siècle, s'explique par le goût de Joséphine pour ces salonnières, dont elle pense incarner une forme de continuité. Contrairement à ce que son titre peut laisser croire, ce tableau ne montre pas un événement réel, mais est une reconstitution, comme Lemonnier l'affirme sans ambages en présentant son œuvre. Il rassemble sur une même toile cinquante-cinq personnages célèbres des Lumières, dont un (Voltaire) en buste, en choisissant arbitrairement une date, 1755, année de la première représentation de la tragédie de Voltaire L'Orphelin de la Chine. Réunis autour de madame Geoffrin dans une grande pièce dominée par le buste de Voltaire et décorée de tableaux qui sont censés être liés à l'hôtesse mais qui reflètent plutôt les goûts de Lemonnier, ces personnages écoutent la déclamation de cette pièce par l'acteur qui l'a jouée, Le Kain. Les invraisemblances sont multiples. Les participants sont beaucoup trop nombreux et seuls quinze d'entre eux ont pu être présents à un dîner littéraire donné par madame Geoffrin en 1755. Cette œuvre est la manifestation d'une sorte de nostalgie, éprouvée par le peintre lui-même, mais qui a des implications politiques réactionnaires quand le tableau est exposé, en 1814, au début de la Restauration. Idéalisation des Lumières, ce tableau devient une représentation très répandue de la sociabilité des salons du XVIIIe siècle, à tel point que son inauthenticité est parfois oubliée. Il correspond à l'image qu'on se fait, au début du XXIe siècle, d'un salon littéraire français. |
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